Le jardin Saiho-ji
Le jardin du temple Saiho-ji est un jardin dit za zen de son créateur qui s’est inspiré de la culture bouddhiste et a fait de l'ancienne demeure du prince Shotoku un temple bouddhiste. Il est situé à l'ouest de la ville de Kyoto dans le quartier Nishigyo. Ce jardin est l'un des premiers jardins zen du genre ; le prêtre décorateur Muso Kokushi qui était inspiré par la culture des jardins japonais décida de faire un jardin japonais dans l'enceinte du temple. Ce jardin aussi appelé le jardin des mousses (kokedera) est l'un des plus beaux jardins qui reste encore préservé de l'empreinte humaine.
Bien que le temple fut à tour de rôle brûlé et inondé, au cours des temps, il ne reste encore que quelques vestiges du temple. Le jardin par contre étant resté à l'abandon pendant plusieurs siècles a permis à l’espèce de se développer. On compte dans le jardin plus de 120 espèces différentes de mousse. L'étang qui est le centre de ce jardin est entouré par les deux maisons de thé.
Jusqu'en 1977 l'accès au jardin n'était pas réglementé. Les visiteurs causerent des dégâts et ce qui entraîna la perte de certaines espèces de mousse. C’est pour cela qu'en 1977 il fut instauré une offrande au temple pour ceux qui voulaient le visiter. Le nombre de visiteurs diminua et entraîna la préservation de ce jardin. De nos jours, les offrandes ont été remplacées par une contrainte plus intéressante : celle de faire de la calligraphie et de chanter des chants religieux.
Pour visiter ce jardin, pensez à réserver car si vous ne le faites pas, vous n'aurez pas accès au jardin.
Bien que le temple fut à tour de rôle brûlé et inondé, au cours des temps, il ne reste encore que quelques vestiges du temple. Le jardin par contre étant resté à l'abandon pendant plusieurs siècles a permis à l’espèce de se développer. On compte dans le jardin plus de 120 espèces différentes de mousse. L'étang qui est le centre de ce jardin est entouré par les deux maisons de thé.
Jusqu'en 1977 l'accès au jardin n'était pas réglementé. Les visiteurs causerent des dégâts et ce qui entraîna la perte de certaines espèces de mousse. C’est pour cela qu'en 1977 il fut instauré une offrande au temple pour ceux qui voulaient le visiter. Le nombre de visiteurs diminua et entraîna la préservation de ce jardin. De nos jours, les offrandes ont été remplacées par une contrainte plus intéressante : celle de faire de la calligraphie et de chanter des chants religieux.
Pour visiter ce jardin, pensez à réserver car si vous ne le faites pas, vous n'aurez pas accès au jardin.